Dans ces jours sombres où la lumière ne semble plus traverser les maux quotidiens de centaine et milliers de gens, prions. Non pas les Dieux mais nos pères, nos frères, nos soeurs, nos mères.
Il est temps qu’on tende la main à celui qui est proche de nous, qui vit souvent la peine en silence. Ils sont forts ces braves gens, mais ne sont pas immortels.
Je ne pense pas qu’on puisse changer le monde en quelques lignes, mais partageons images et mots de paix, afin de rendre ce jour plus joyeux.
Une réflexion sur “Lettre à l’absence #27”