Un sujet très vaste qui a eu son heure de gloire avec l’émergence de la psychanalyse. D’ailleurs sur Wikipedia beaucoup d’informations permettent de comprendre le sujet.
En réalité, si j’écris ces quelques lignes, c’est pour parler d’une étude qui étudiait la différence entre les menteurs pathologiques et les menteurs occasionnels.
On a distingué une chose chez les menteurs pathologiques, c’est la formation d’une image mentale qu’ils utilisaient comme « souvenir », ainsi le menteur s’il passait au détecteur de mensonge sous le regard d’une technique d’imagerie médicale, revivait le mensonge comme un réel souvenir.
On parle de distension de la mémoire et plus les mensonges sont fréquents et plus notre cerveau va compenser les choses en créant une multitude de faux souvenirs… Ce qui va provoquer à la longue une certaines difficulté à savoir quand on a menti et quand on n’a pas menti. D’autres études vont étudier ce sujet en profondeur.
Souvenir écran: Freud dans Psychopathologie de la vie quotidienne, crée un autre terme: Les souvenirs écrans. Quand nous sommes absents ou trop petit pour nous souvenir d’un évènement, on va se constituer un faux souvenir à l’aide de plusieurs bribes de souvenirs rapportés, empruntés à d’autres personnes.