Le moment le plus important de votre existence, c’est maintenant! Tout ce que vous ressentez et pensez maintenant crée votre avenir.
Alors que je bossais tranquillement, je me suis rendu compte qu’on avait oublié de vivre l’instant.
Mon père disait souvent « Aimez-vous de votre vivant » en considérant ce propos à leur juste valeur, je remarque qu’on a de plus en plus de mal à nous aimer. Comme un certains Jean Luc Godard disait si bien dans « Sauve qui peut (la vie) » « On a envie de se toucher, mais on n’y arrive qu’en se tapant l’un sur l’autre »…
C’est triste ça, la société de la communication nous a tellement focalisé sur l’idée du toujours plus qu’on finit par faire toujours moins.
C’était bien l’époque des réglisse où on allait chercher nos potes en VTT, où on passait des heures dehors à discuter en face à face. Maintenant c’est face to book… C’est con, tu dis que tu souris mais je ne le vois pas, tu es derrière un écran, tu effleures ton tactile et tu deviens de moins en moins lucide. Bref, aujourd’hui j’ai bossé dehors dans la nature, puis j’ai pris un café et j’ai écris ces quelques lignes qui ne valent rien, car il faut vivre à présent!
Jeter les objets du malheur
Le malheur en soit n’est qu’une perception, nous créons notre malheur… En jetant les objets qui nous rappèlent un peu trop des instants tristes, on peut aller de l’avant. Si vous ne souhaitez pas jeter la lampe de votre vielle tante, pensez à ranger cela dans un grenier ou votre garage… Le tout est de ne plus voir cet objet.
Si vous voulez vraiment changer votre manière de voir le monde, je vous conseille cet autre exercice. chercher à changer votre regard vers cet objet en pensant à des instants heureux où cet objet était présent. Vous voyez, il n’est pas seulement un objet de malheur, mais un objet aussi présent lors de votre bonheur passé. En réalité, les objets gardent beaucoup d’ondes positives et négatives, il suffit de changer notre regard dessus et se focaliser sur le positif et envoyer un maximum d’onde bienveillante sur cet objet.
Une réflexion sur “Le présent c’est maintenant”