Un idéal du beau.

La déception du monde réel

déception
Un peu comme le montre Sartre «Huis-clos», la vie est une forme de quête d’un idéal, mais avec une frustration et une peur du jugement. L’autre est un être différent qu’on aimerait séduire mais également posséder. On veut posséder la vision que nous projetons dans son regard, mais n’y en arrivant pas, il devient notre enfer. On réduit souvent «L’enfer c’est les autres» au simple fait que l’harmonie du duo est sans cesse perturber par une triade, mais en réalité, c’est ce désir de bien être qui est mis à mal par la co-existence d’un Autre qui est différent et sur qui nous n’avons pas d’emprise. Dans «Les mains sales» nous avons une déception pure et simple de l’idéalisme d’un jeune homme qui se rend compte que pour faire changer les choses il faut agir, celui qui agit prend des décisions qui ne sont pas toujours honnête ou moral, car pour faire bouger les choses, il faut mettre ses mains dans «la merde» et on a les mains sales.

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